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Description

Regard des FrançaisƐƵƌ ů͛ĂĐƚŝŽŶ du gouvernement et sur le confinement > s ͛ D Z'K D Z Z / Ϯϱ D Z^ ϮϬϮϬÀ 18H Sondage réalisé avec pour Recueil Mét hodologie ŶƋƵġƚĞ ƌĠĂůŝƐĠĞ ĂƵƉƌğƐ Ě͛ƵŶ ĠĐŚĂŶƚŝůůŽŶ ĚĞ &ƌĂŶĕĂŝƐ ŝŶƚĞƌƌŽŐĠƐ ƉĂƌ ŝŶƚĞƌŶĞƚ ůĞƐ24 et 25 mars 2020. Echantillon Echantillon de1 005 Françaisreprésentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité deů͛ĠĐŚĂŶƚŝůůŽŶest assurée par la méthode des quotas appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, niveau de diplôme et profession deů͛ŝŶƚĞƌǀŝĞǁĠaprès stratification par région et catégorie Ě͛ĂŐŐůŽŵĠƌĂƚŝŽŶ. WƌĠĐŝƐŝŽŶƐ ƐƵƌ ůĞƐ ŵĂƌŐĞƐ Ě͛ĞƌƌĞƵƌ Chaque sondage présente une incertitude statistique queů͛ŽŶappelle margeĚ͛ĞƌƌĞƵƌ. Cette margeĚ͛ĞƌƌĞƵƌsignifie que le résultat Ě͛ƵŶsondage se situe, avec un niveau de confiance de 95%, de part etĚ͛ĂƵƚƌĞde la valeur observée. La margeĚ͛ĞƌƌĞƵƌdépend de la taille deů͛ĠĐŚĂŶƚŝůůŽŶainsi que du pourcentage observé.

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Publié le 25 mars 2020
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Langue Français
Poids de l'ouvrage 1 Mo

Extrait

Regard des Françaissuƌ l’aĐtioŶ du gouvernement et sur le confinement
LEVÉE D’EMBARGO MERCREDI 25 MARS 2020À 18H
Sondage réalisé avec
pour
Recueil
Mét
hodologie
EŶƋuġte ƌĠalisĠe aupƌğs d’uŶ ĠchaŶtilloŶ de FƌaŶçais iŶteƌƌogĠs paƌ iŶteƌŶet les24 et 25 mars 2020.
Echantillon Echantillon de1 005 Françaisreprésentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
La représentativité del’ĠchaŶtilloŶest assurée par la méthode des quotas appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, niveau de diplôme et profession del’iŶteƌǀieǁĠaprès stratification par région et catégorie d’aggloŵĠƌatioŶ.
PƌéĐisioŶs suƌ les ŵaƌges d’eƌƌeuƌ
Chaque sondage présente une incertitude statistique quel’oŶappelle marged’eƌƌeuƌ. Cette marged’eƌƌeuƌsignifie que le résultat d’uŶsondage se situe, avec un niveau de confiance de 95%, de part etd’autƌede la valeur observée. La marged’eƌƌeuƌdépend de la taille del’ĠchaŶtilloŶainsi que du pourcentage observé. Sile pouƌĐeŶtage oďseƌvé est de … Taille de l’EĐhaŶtilloŶ5% ou 95% 10% ou 90% 20% ou 80% 30% ou 70% 40% ou 60% 50% 1008,0 9,2 9,8 4,4 6,0 10,0 2005,7 6,5 6,9 7,13,1 4,2 3004,6 5,3 5,7 5,82,5 3,5 4002,2 3,0 4,0 4,6 4,9 5,0 5003,6 4,1 4,4 4,51,9 2,7 6003,3 3,7 4,0 4,11,8 2,4 8002,8 3,2 3,5 3,51,5 2,5 9001,4 2,0 2,6 3,0 3,2 3,3 1 0001,4 1,8 2,5 2,8 3,0 3,1 2 0001,8 2,1 2,2 2,21,0 1,3 30001,4 1,6 1,8 1,80,8 1,1 Lecture du tableau:Dans un échantillon de 1000 personnes, si le pourcentage observé est de 20% la marged’erreurest égale à 2,5% : le pourcentage réel est donc compris dansl’intervalle[17,5 ; 22,5].
Les principaux enseignements
A Đause des ŵasƋues et des ƌĠĐeŶtes polĠŵiƋues, l’opiŶioŶ puďliƋue se ƌetouƌŶe ĐoŶtƌe le gouvernement à qui elle retire sa confiance
Principaux enseignements : 1.Les FƌaŶçais Ŷe foŶt plus ĐoŶfiaŶĐe au gouveƌŶeŵeŶt faĐe à l’ĠpidĠŵie: près des trois-Ƌuaƌts d’eŶtƌe eudž estiŵeŶt Ƌu’il «ne leur dit pas la vérité» et suƌtout Ƌu’il «ne prend pas les bonnes décisions au bon moment » et «Ŷe fait pas Đe Ƌu’il faut pouƌ ĠƋuipeƌles hôpitaudž et les soigŶaŶts faĐe à l’ĠpidĠŵie» 2.EŶ effet, tous les FƌaŶçais ;ϵϳ%Ϳ, soŶt peƌsuadĠs Ƌu’il LJ a ďieŶ eŶ FƌaŶĐe uŶe pĠŶuƌie de ŵasƋues, et les deudž-tieƌs d’eŶtƌe eudž(65%) estiŵeŶt Ƌue Đ’est le gouveƌŶeŵeŶt aĐtuel Ƌui eŶ est ƌespoŶsaďle 3.Ils atteŶdeŶt aussi du gouveƌŶeŵeŶt de l’audaĐe suƌ uŶ plaŶ saŶitaiƌe: 6 Français sur 10 veulent que le gouvernement accélère et suive l’optioŶ ChloƌoƋuiŶe pƌoposĠe paƌ le Pƌofesseuƌ Raoult saŶs atteŶdƌe les ƌĠsultats des tests ĐliŶiƋues eŶ Đouƌs 4. En revanche pas de problème pour le gouvernement sur le fond du confinement : 9 Français sur 10 estiment que le confinement est une « bonne mesure» ;ϵϱ%Ϳ, Ƌu’ils ƌespeĐteŶt ;ϵϰ%Ϳ et Ƌui duƌeƌa au ŵoiŶs ϰ seŵaiŶes ;ϴϱ%Ϳ… ŵais Ƌu’il auƌait fallu le dĠĐideƌplus tôt (88%) 5.EŶĐoƌe plus foƌt, eŶ ƌeďoŶd audž aŶŶoŶĐes d’Edouaƌd Philippe, les FƌaŶçais se diseŶt pƌġts à Đe Ƌue le gouveƌŶeŵeŶt aille eŶĐore plus loin au sujet du confinement : 86% sont favorables à un durcissement global du confinement et 87% à un durcissement des sanctions Gaël SliŵaŶ, PƌĠsideŶt d’Ododža
Dans son analyse des réseaux sociaux, Véronique Reille-Soult de Dentsu Consulting relèveque parmi les conversations sur le virus, sa propagation et les solutions, le sujet qui monte est clairement la Chloroquine.Informations et contre informations, polémiques et débats, la solution du Pr. Raoult ne laisse personne indifférent. On notera que pour la grande majorité des internautes la position du gouvernement est difficile à comprendre « si on est en guerre on prend des mesuresd’urgence».
Synthèse détaillée du sondage (1/5)
Les Français ne font plus confiance au gouvernement, près des trois-quartsd’eŶtƌeeux estimantƋu’ilne leur dit pas la vérité et surtoutƋu’ilne prend pas les bonnes décisions au bon moment et ne fait pas ceƋu’ilfaut pour équiper les hôpitaux et les soignants face àl’ĠpidĠŵie
Les Français faisaientjusƋu’aloƌsconfiance au gouvernement pour gérerl’ĠpidĠŵie. Mais çac’Ġtaitavant. Le 12 mars dernier, dans notre sondage hebdomadaire pour France-Info, Dentsu-Consulting et le Figaro, près des deux-tiers des Français trouvaient que le gouvernement réagissait bien voire trop face àl’ĠpidĠŵie: 43% trouvaitƋu’ilprenait les précautionsƋu’ilfallait et 20%Ƌu’ilen prenait même « trop », contre seulement 37% qui considéraientƋu’il Ŷ’eŶprenait « pas assez ».
Une semaine plus tard, le 19 mars dernier, deux sondages confirmaient cette grande confiance : 55% des Français disaient « faire confiance au gouvernement pour faire face efficacement au Coronavirus » (sondage Ifop-JDD) et, encore plus fort, dans notre sondage de la semaine dernière « post-testant »l’allocutioŶ d’E. Macron 82% des Français estimaientƋu’ilavait pris la mesure de la gravité de la situation, 65%Ƌu’ilavait été « clair » et 59%Ƌu’illeur disait la vérité et « savait où il allait ». Une semaine (de confinement) plus tard,l’opiŶioŶpubliques’esttotalement retournée sur chacune de ces dimensions, retirant désormais systématiquement sa confiance au gouvernement, y compris dans des domaines où ellel’accoƌdaitde façon écrasante au président le 19 mars dernier. Ainsi, 55% des Français jugent que le gouvernementŶ’apas pris la mesure de la gravité de la situation (division par deux par rapport à la mesure de la semaine dernière lors del’allocutioŶ d’EŵŵaŶuelMacron), 69% estimentƋu’il Ŷ’estpas clair (inversion parfaite), et 79% estimentƋu’ilne sait pas où il va (53% pensaientl’iŶǀeƌsedu Président le 19 mars).
Synthèse détaillée du sondage (2/5)
Pire encore, alors que la transparence et la vérité sont des notions capitales face à une telle crise sanitaire, 70% des Français estiment que le gouvernement ne leur dit pas la vérité. Ils étaient une proportion quasi-inverse (59%) à faire confiance au Président sur ce point la semaine dernière après son allocution. Pourquoi un tel retournement ? Parce que les trois-quarts des Français (75% vs 24%) sont désormais persuadés que le gouvernementŶ’a pas pris les bonnes décisions au bon moment et surtout parceƋu’il Ŷ’apas fait le nécessaire pour bien équiper les hôpitaux et les soignants face àl’ĠpidĠŵie(75% vs 24%).
Tous les FƌaŶçais ;ϵϳ%Ϳ, soŶt peƌsuadĠs Ƌu’il LJ a ďieŶ eŶ FƌaŶĐe uŶe pĠŶuƌie de ŵasƋues, et les deudž-tieƌs d’eŶtƌe eudž ;ϲϱ%Ϳ estiment Ƌue Đ’est le gouveƌŶeŵeŶt aĐtuel Ƌui eŶ est ƌespoŶsaďle Evidemment, la polémique sur les moyens et notamment sur les masques explique largement, à la fois ce jugement sur le manque de moyens donnés aux soignants, mais aussi sur le manque de transparence : comment les porte-paroles gouvernementaux peuvent-ils à la fois direƋu’ilne sert à rien de porter un masque, quel’hôpital Ŷ’eŶmanque pas et, en même temps,Ƌu’ilsen commandent en urgence etƋu’ilsdemandent aux particuliers et aux entreprises de les livrer aux hospitaliers et aux professionnels de santé en ville ? D’ailleuƌs,notre sondage le montre clairement,c’estsur les masques que le bât blesseInterrogés sur la polémique actuelle concernant le nombre de masques disponibles en Franceaujouƌd’huipour faire face àl’ĠpidĠŵie, seulement 2% des Français pensentƋu’il Ŷ’ya pas de pénurie de masques en France actuellement car ceux qui en ont besoin (médecins, hôpitaux) en ont en nombre suffisant. 97% des Français pensent au contraireƋu’ily a bien une pénurie, quoiƋu’eŶdise le gouvernement, mais tous ne désignent pas les mêmes responsables.
Synthèse détaillée du sondage (3/5)
Les deux-tiers des Français (65%) estiment «Ƌu’ily a bien en France une pénurie de masques et que le gouvernement actuel en est responsable car ilŶ’apas pris les mesures pour rectifier le problème ». Les autres, le tiers restant, estiment aussiƋu’ily a bien une pénurie mais que « cette pénurieŶ’estde la faute du gouvernement qui fait le nécessaire pour rattraper notre retard ». Ceux-là, pluspas volontiers LREM (72%), rendent probablement responsables le gouvernement précédent, qui avait décidéen 2013de ne pas renouveler le considérable stock de masques disponibles et avait fait détruire ceux qui étaient périmés.
ϲ FƌaŶçais suƌ ϭϬ veuleŶt Ƌue le gouveƌŶeŵeŶt aĐĐĠlğƌe et suive l’optioŶ ChloƌoƋuiŶe pƌoposĠe paƌ le Pƌofesseuƌ Raoult saŶs attendre les résultats des tests cliniques en cours
Le professeur Raoult, un spécialiste des maladies infectieuses à Marseille, assure que la Chloroquine (un médicament déjà connu contre le paludisme) est un traitement efficace pour lutter contre le virus. Contrairement aux recommandations des autorités de santé, il l’utilisedéjà pour ses patients et demande au gouvernementd’eŶgénéraliser immédiatementl’usagepartout en France. A ce sujet, les Français sont très clairs et sontd’accoƌdavec le trublion. 60% des Français estiment que le Professeur Raoult a raison, selon eux, « il ne faut pas perdre de temps et immédiatement généraliser l’utilisatioŶde la Chloroquine, sans attendre les résultats des essais cliniques ». 39% estiment àl’iŶǀeƌseque « le Professeur Raoult a tort, il faut respecter les protocoles scientifiques en vigueur et attendre les résultats des tests cliniques de grande ampleur en cours avant de généraliserl’usagede la Chloroquine ». Nous sommes en guerreet « à la guerre comme à la guerre ».
Synthèse détaillée du sondage (4/5)
9 Français sur 10 estiment que le confinement est une « bonne mesure» ;ϵϱ%Ϳ, Ƌu’ils ƌespeĐteŶt ;ϵϰ%Ϳ et Ƌui duƌeƌa au ŵoiŶs ϰ seŵaiŶes ;ϴϱ%Ϳ… ŵais Ƌu’il auƌait fallu le dĠĐideƌ plus tôt ;ϴϴ%Ϳ
Si les Français ont perdu leur confiance dans le gouvernement depuis le début du confinement, ceŶ’estpas à cause de celui-ci mais bien à cause des masques et de la capacité du gouvernement à prendre dans les temps les bonnes mesures. En effet, 9 Français sur 10 estiment que le confinement est une « bonne mesure » (95%). Ils assurent aussiƋu’ilsle respectent (94%) même si cette situation est difficile à vivre pour 42% des Français et 46% des Franciliens confinés dans des surfaces plus réduites. Enfin, les Français sont prêts à encaisser les probables mauvaises nouvelles à venir sur sa prorogation : 85%d’eŶtƌeeux estimantƋu’il durera finalement au moins 4 semaines. Le gouvernement peut donc compter sur eux pour tenir. Les Français ne lui reprochent nullement de les priver de liberté comme jamais aucun gouvernement nel’afait sous la Vème république. En revanche, ils font bien un reproche au gouvernement à propos du confinement : 88%d’eŶtƌeeux estimentƋu’ilaurait dû être décidé plus tôt. On rejoint le reproche fait précédemment par 75% des Français quant àl’iŶcapacitĠdu gouvernement, selon eux, à « prendre les bonnes décisions au bon moment ».
Synthèse détaillée du sondage (5/5)
EŶ ƌeďoŶd audž aŶŶoŶĐes d’Edouaƌd Philippe, les FƌaŶçais se diseŶt pƌġts à Đe Ƌue le gouveƌŶeŵeŶt aille eŶĐoƌe plus loiŶ au sujet du confinement : 86% sont favorables à un durcissement global du confinement et 87% à un durcissement des sanctions
En rebond aux annoncesd’EdouaƌdPhilippe lundi dernier au 20h de TF1, les Français se disent prêts à ce que le gouvernement aille encore plus loin au sujet du confinement : 86% sont favorables à « un durcissement global du confinement » et 87% à « un durcissement des sanctions contre les personnes qui circuleraient sans les bons documents ». 87% des Français seraient aussi favorables à «l’iŶstauƌatioŶ d’uŶcouvre-feu national » comme le font déjà certaines villes de France (Perpignan, Nice) Moins enthousiastes à ce sujet 74% seraient même pourl’iŶteƌdictioŶdu jogging et du sport individuel en plein airmais en même temps, comme les deux-tiers des Français ne pratiquent pas la course-à-pied*, il est bien possible que cette dernière mesure passe beaucoup moins bien auprès des premiers concernés. En tout cas ces données plébiscitaires montrent combien le pays est prêt à souffrird’uŶconfinement qui durerait et se durcirait.
*Baromètre sport Odoxa-Groupama-RTL du 2 février 2020
Gaël SliŵaŶ, PƌĠsideŶt d’Ododža
Réseaux sociaux L’œil de VéƌoŶiƋue Reille Soult, CEO de DeŶtsu CoŶsultiŶg
En France, la Chloroquine est le sujet qui monte
Dans le monde entier les internautes utilisent les réseaux sociaux pour partager les informations, les commenter et maintenir le lien et sortir de leur isolement. Les fake news y pullulent.
En France, la volumétrie des messages sur le Coronavirus explose (+138,5% par rapport à la semaine dernière).Le partage des informations et la recherche de réponses aux questions sur le virus et sa propagation représentent l’esseŶtieldes messages. Le reste se répartit ensuite entre les consignes et injonctions de confinement (2ème sujet), les partagesd’iŶitiatiǀessolidaires (3ème sujet) et les divertissements en tout genre (4ème sujet).
Parmi les conversations sur le virus, sa propagation et les solutions, le sujet qui monte est clairement la Chloroquine.Informations et contre informations, polémiques et débats, la solution du Pr. Raoult ne laisse pas indifférent. On notera que pour la grande majorité des internautes la position du gouvernement est difficile à comprendre «si on est en guerre on prend des mesuresd’urgence». Ce débat, qui surgit dans un contexte de confinement de plus en plus difficile à vivre pour les Français, soulève la question de la confiance envers le gouvernement et envers le conseil scientifique.
Véronique Reille Soult, CEO de Dentsu Consulting
Retrouvez les éléments détaillés del’aŶalysesur les réseaux sociaux à la fin de ce rapport
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